Défense animale, montée de l’écologisme, scandales alimentaires… De nombreux Français retirent la viande de leur mets. Le résultat de la pratique d’un régime sans viande est assez favorable pour la santé, à charge de rééquilibrer l'alimentation en vue d’échapper aux carences. Explications !
Pourquoi pratiquer un régime sans viande ?
En France, le régime végétarien a longuement été important et tend incontestablement à progresser. Un chef cuisinier de la restauration active dans la République française l’a bien compris et offre par la suite un hamburger sans bœuf, appelé régime sans viande. Quelques végétaliens évoquent des motifs sanitaires ou philosophiques, tandis que d’autres, écologiques. Mais peu importe leurs motivations, tous disposent d’un objectif commun : ils ont rejeté la viande de leur menu et donnent une importance particulière aux épices, légumineux, fruits, céréales, plantes aromatiques... De plus, manger frugivore minimise le danger d’affections cardiovasculaires de 25 % au minimum, et celui d’être la cible d’une coronaropathie de 32 % en comparaison d'un non-herbivore, d’après une nouvelle recherche. Le motif : cette diète dispose d’un résultat bénéfique sur le diabète, le taux de cholestérol et la tension, triples facteurs d’une menace de maladies cardiovasculaires. Et pour cause, il contribue à consumer moins la graisse coincée, et plus de légumes, riches à la fois en antioxydants et en fibres, de fruits et de plantes oléagineuses. Par contre, rien ne montre que le rejet des produits alimentaires complexes et de la viande explique ces vertus. Pour plus d’informations tout autour de ce régime sans viande, n’hésitez pas à faire des recherches en ligne.
Des vertus à considérer
La période pré-pancréatique du diabète non-insulinodépendant est également 2 fois moins considérable chez les herbivores, c’est-à-dire chez les gens pratiquant un régime sans viande, sans que l’on ne puisse forcément l'expliquer. Chez les individus atteints de diabète de la maturité, un régime excluant les protéines dérivées animales, comparé à un régime habituel à calorie limitée (réduction des apports caloriques), contribue à subir quasiment 2 fois plus de perte de poids, de diminuer davantage non seulement le taux de lipides à l’instar des graisses, mais aussi le taux de glucose à l’instar du sucre dans le sang. L’insulino-résistance et l’usage des médicaments provoquant une hypoglycémie (insuffisance ou encore diminution du taux de glucose). Le végétalisme diminue tout autant la menace du cancer de 10 % pour toutes catégories de cancers combinées, et encore plus pour les tumeurs qui sont susceptibles de croître promptement sur l’une parmi les 2 parties anatomiques. Se débarrasser de la viande de son écuelle contribuerait donc à réduire la menace du cancer du côlon-rectum d’environ 22 %, et, voire de 43 % au cas où on serait pescetarien. Les frugivores seraient également susceptibles de ressentir une forte souffrance de constipation et encore d’autres troubles fonctionnels intestinaux. De nombreux essais suggèrent aussi que le régime n'autorisant aucune protéine animale comme charcuterie, poisson ou viande, pouvait tenir un rôle à part entière dans le mécanisme de défense contre les substances inévitables à l'organisme à l’origine d’une maladie chronique apparaissant lorsque de la bile ou encore du suc gastrique passe dans le système digestif et avive la muqueuse. Plus impressionnant : les gens ayant opté pour une alimentation d’origine végétale seraient moins nombreux à ressentir une vive souffrance d’une maladie inflammatoire des voies aériennes et, pour celles et ceux qui sont désormais asthmatiques, l’altération de la santé est à la fois bien vérifiée et moins sévère. Les crudités, surtout, disposent des caractères anti-inflammatoires ou antioxydants. Ils réduisent l'hyper-réactivité bronchique.
Les carences sont en quantité réduite
Quant à ceux ou celles qui veulent devenir frugivores en espérant reconnaître la ligne : attention. Certainement, d'innombrables études prouvent que ce régime sans viande facilite une excellente vérification de son poids, probablement puisqu'on prend plus de protéines de bonne qualité et moins de nourritures caloriques. Pour beaucoup, cela n'est pas censé être la première motivation. Être herbivore, ce n'est pas savourer une pomme et certaines feuilles de salade chaque jour. Il est également fortement recommandé de savoir préparer des plats végétariens délicieux avec « lentille », « soja » ou « Cicer arietinum » en vue de disposer des protéines ralentissant la consommation des sucres. Sinon, le danger de tomber dans un trouble du comportement alimentaire est énorme.
D’autres bienfaits pour la santé
Comme énoncé précédemment, les carences sont à faible quantité grâce à un régime sans viande excluant les protéines dérivées animales. Soyez attentif quand même. Il ne fait aucun doute que les patients, les femmes enceintes ainsi que les enfants font généralement partie des personnes fragiles et requièrent un apport nutritionnel spécial. Pour les végétaliens, il n’y a pas de souci avec des protides issus des produits carnés et de la viande pouvant facilement être remplacés par du poisson comme pour les semi-végétariens et des œufs ou par des protéines vertes telles que le soja, les céréales, le tofu, les légumineux ou l'association de ces ingrédients. Le premier danger est l’appauvrissement du sang causé par la carence en fer, le fer à base végétale qui est moins bien consommé par le corps que celui à base animale.